Le chant de la louve m’inonde d’un drapé troublant
Il me caresse de sa joliesse d’âme et apaise les tambours de mon esprit
Larmes de flammes baignées de vagues de pluie
Le faste de son écho m’entoure de beauté pleine et fait vibrer les fêlures enluminées de mes saillances
Je me dépare de mon silence pour honorer le doux rêve qui s’annonce
Et laisse mes sens en effusion percer l’antre de sa blessure
Dévouée à me dire les bravoures qui se murmurent
Et empêchée de taire les frasques amères qui me rassurent.