Les oiseaux se pâment dans l’écume au cœur sauvage
Et ensemencent mes yeux de floraison d’amour
Je les regarde qui glissent las sur l’eau qui frétille de beauté frêle
Et je m’approche tendrement pour écouter leur chant des merveilles
La mer les couve de son drapé miroitant d’émoi
Et les berce de sa douceur suave et envoûtante de joie
Je les regarde repu de beau et de caresses d’effroi
Et demande à la vague de les chérir sans loi
Pour moi